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Investissement immobilier en 2016 : privilégier les estimations

Aujourd’hui, grâce aux différents dispositifs de défiscalisation proposés par l’État, l’accès au logement aussi bien dans le neuf que dans l’ancien est largement facilité. Souvent conditionnés, ces dispositifs peuvent toutefois se révéler être l’unique opportunité pour les foyers français de posséder enfin leur propre bien immobilier. Avant de se lancer et pour éviter de se ruiner plutôt que d’acquérir un bien, il est recommandé d’évaluer ses capacités d’achats, mais aussi d’emprunt.

Bien évaluer sa capacité d’achat

Évaluer sa capacité d’achat immobilière, permet avant tout d’éviter tout risque de désillusion lié à une surestimation, mais aussi de défaitisme lié à une sous-estimation de celle-ci. En effet, avant de penser à faire un achat, il faudra prendre en compte un certain nombre de critères notamment les prix de l’immobilier, le niveau de taux pratiqué dans les organismes d’emprunt, les revenus mensuels et annuels ainsi que le coût des frais annexes.

La capacité d’achat se calcule en fonction de l’apport personnel, des revenus et des taux pratiqués selon la région. Pour des résultats plus concrets, certaines banques et organismes proposent d’ailleurs des simulations en ligne, sans engagements. Elles permettent entre autres de connaître exactement le montant que les foyers pourront investir dans le bien, une fois les frais notariés réglés. Pour estimer la surface, il suffira de diviser le montant global par le prix au mètre carré du quartier souhaité.

Estimer sa capacité d’emprunt

De nombreux critères sont également à prendre en considération pour connaître la somme pouvant être empruntée pour réaliser un projet d’achat immobilier ainsi que la somme mensuelle à consacrer pour le remboursement. Pour que le projet puisse être concrétisé sans faire tomber la famille dans le surendettement, la mensualité ne doit pas être supérieure au 1/3 des revenus. Un montant appelé : reste à vivre doit être disponible chaque mois pour subvenir aux besoins prioritaires.

Outre le budget familial courant, il faudra aussi prendre en considération les charges importantes prévisibles : études supérieures des enfants par exemple, ainsi que les nouvelles charges en tant que propriétaire, telles les charges foncières. Dans le cas d’un investissement locatif, le nouveau loyer perçu entre dans le cadre des revenus nets mensuels.

Aujourd’hui, pour matérialiser leurs projets immobiliers, de nombreux ménages optent pour un emprunt. Pour maximiser la capacité d’achat et de l’emprunt, il est cependant indiqué d’achever d’abord de rembourser les autres prêts en cours pour éviter les accumulations de crédits.