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Les Français et la consommation : les intentions de recourir au crédit repartent à la hausse

De plus en plus de ménages sont aujourd’hui enclins à demander des prêts pour réaliser leurs projets de consommation. le taux actuel mémorablement bas des prêts immobiliers semble cette année, séduire davantage les acquéreurs.

Le crédit consommation en hausse, mais…

C’est un fait, les ménages français ont davantage souscrit à des crédits à la consommation durant l’année 2015. En effet, selon une étude réalisée par la FBF ou « Fédération Bancaire française », 26 % des ménages français auraient contracté, l’an dernier, des crédits à la consommation. Notez qu’en 2014, ce taux était de l’ordre de 25,6%. Il s’agirait selon toujours cette étude, de la toute première augmentation remarquée depuis l’année 2008, même si les chiffres restent encore trop éloignés du niveau constaté pendant la première moitié de l’année 2000.

Pour Michel Mouillart, auteur de cette étude, cette hausse, bien qu’elle soit légère, montre tout simplement l’aspiration des ménages français à se lancer dans des « projets à la consommation durables ». Notez que depuis l’année 2009, 14 % des ménages qui ont recours à ce type de crédit le font pour pouvoir s’acheter une nouvelle voiture et 6 % pour financer l’achat des biens d’équipement pour l’habitation.

… le crédit immobilier demeure le plus intéressant pour les ménages

Loin devant le crédit à la consommation, le crédit immobilier a aujourd’hui de plus en plus de succès. La raison ? Le taux actuel des prêts immobiliers qui affiche la plus importante baisse de l’histoire. À ces taux réduits viennent également s’ajouter la mise en place de nombreux dispositifs de défiscalisation destinés à encourager les achats dans le secteur immobilier parmi lesquels il est par exemple possible de retrouver le prêt à taux zéro 2016 qui connait aujourd’hui un grand succès.

Souples et très attrayants, ces dispositifs s’adaptent au besoin des emprunteurs, selon qu’ils veulent investir dans l’immobilier neuf ou dans l’immobilier ancien. Avec ces taux proposés à la baisse et ces dispositifs multiples, les primoaccedants sont largement avantagés et sont d’autant plus actifs. De juillet 2015 à juillet 2016 par exemple, le montant moyen emprunté par cette catégorie d’acquéreurs a affiché une augmentation non négligeable, passant de 158 269 euros à 164 044 euros.