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Crédit, des erreurs sur les dossiers d’emprunt, les banques au banc des accusées !

 

 

Les banques peuvent commettre des erreurs lors de l‘étude du dossier de leurs clients. Il peut s’agir d’une omission comme il peut être question d’une faute de calcul des taux.

 

Des cas d’omissions révélés au grand jour

 

Les informations qui circulent concernant la qualité des prestations des banques lors du traitement des dossiers des emprunteurs ne plaident pas en faveur des organismes prêteurs. Les articles publiés sur la toile indiquent que ces entreprises sont loin d’être irréprochables dans la réalisation de leurs tâches. L’on apprend que certaines institutions financières oublient de prendre en considération les frais que prélève le courtier en crédit pour leurs prestations. Ces dépenses ne peuvent cependant pas être négligées parce qu’ils entrent dans la fixation des charges du prêt. C’est pareil pour les honoraires du notaire lorsque le prêt est assorti d’une hypothèque.

 

De nombreuses erreurs préjudiciables

 

Les mêmes publications révèlent que les contrats d’emprunt sont erronés. Les statistiques disponibles indiquent 50 % à 75 % des conventions de crédit étudié par les techniciens de la banque prêteuse se trouveraient dans cette situation. Ces problèmes sont fort préjudiciables pour le signataire du contrat. Certaines banques commettent la bourde d’accorder un financement s’étalant sur vingt-cinq années à un client âgé de cinquante ans. Ce dernier ne sera plus couvert par son assurance à partir de sa soixante-dixième année alors qu’il lui reste encore cinq ans pour régler ses dettes. Par ailleurs, l’on apprend que plus de la moitié des dossiers des emprunteurs souffrent d’un vice de forme.

Des erreurs sur les dossiers d'emprunt une

Faute de calcul sur les taux

 

Des articles consultables sur la toile révèlent que ces négligences sont imputables aux techniciens qui travaillent pour les organismes prêteurs. Malheureusement, les impacts de ces actes dans le budget de l’emprunteur sont considérables parce qu’ils conduisent à une erreur d’appréciation du TEG, l’indicateur principal permettant de prendre connaissance du coût effectif de l’emprunt immobilier. Ces préjudices peuvent cependant être évités si les techniciens chargés d’étudier les dossiers des clients de l’institution d’emprunt disposent des compétences requises dans le domaine.

Des erreurs sur les dossiers d'emprunt

Les emprunteurs peuvent demander réparation

 

Face à ces erreurs qui ont tendance à être répétitives, des spécialistes du marché du crédit immobilier tiennent à rappeler que les banques fautives doivent réparer les préjudices économiques subis par leurs clients. Ainsi, les organismes de prêt sont tenus d’appliquer un taux de référence appelé taux légal à la place du tarif convenu dans le contrat d’emprunt. Évalué actuellement à 0,04 % contre 0,71 % l’an dernier, ce taux s’avère très avantageux pour les candidats au prêt bancaire. Ce qui devrait faire réfléchir les acquéreurs immobiliers qui remboursent l’argent de la banque à une période où les prix de l’argent tendent à remonter. Ces emprunteurs ont intérêt à vérifier si le banquier n’a pas commis des erreurs lors de la fixation des coûts de l’emprunt.